Mes mille et une vies Bud Spencer retrace le parcours étonnant de Carlo Pedersoli, mondialement connu sous ce pseudonyme inoubliable. Dès les premières pages, cette autobiographie explore la dualité d’un homme aux multiples facettes : sportif olympique et star du grand écran. Par conséquent, le livre Mes mille et une vies Bud Spencer met en lumière les contrastes, les ambitions et les réussites d’un destin hors norme.

Carlo Pedersoli, avant de devenir Bud Spencer, s’est illustré par une carrière exceptionnelle en natation. Il a représenté l’Italie aux Jeux olympiques de 1952 et de 1956, ce qui témoigne, sans conteste, de son endurance et de sa discipline. Ses exploits aquatiques ont jeté les bases d’une vie publique intense, marquée par la rigueur du sport de haut niveau.

Cependant, Bud Spencer, son alter ego charismatique, a investi cette énergie dans le cinéma. De plus, il s’est rapidement imposé comme un acteur incontournable dans les années 1960. Souvent vu dans des rôles de colosses au cœur tendre, il a conquis le public grâce à son humour, sa bonhomie, et surtout sa complicité légendaire avec Terence Hill.

Leur collaboration a donné naissance à une série de « westerns spaghettis » devenus cultes. Parmi eux : Dieu pardonne… moi pas ! (1967), On l’appelle Trinita (1970), ou encore Le Cogneur (1974). Ces films ont immortalisé leur duo à l’écran. Et surtout, ils ont révélé une nouvelle dimension de l’acteur : celle d’un homme capable de faire rire tout en imposant le respect.

En conclusion, cette autobiographie n’est pas une simple chronologie de succès. C’est un récit humain, dense, où l’on découvre un homme qui n’a cessé de réinventer sa vie. Mes mille et une vies Bud Spencer célèbre cette capacité rare à embrasser plusieurs existences en une seule.

En effet, à travers Carlo et Bud, ce livre interroge la notion même d’identité. Être deux en un, ou un pour deux : c’est la question que soulève chaque chapitre. Et c’est ce qui rend ce témoignage si riche, si singulier, et surtout, si inspirant.