De culture québécoise et française, François-Xavier Bellest a exercé plusieurs métiers avant de se consacrer au métier d’éditeur.
Il a écrit une vingtaine de romans en qualité d’écrivain-fantôme pour le compte de maisons d’éditions canadiennes et françaises. Écrire à la place de l’autre l’a projeté dans une polysémie de couleurs innombrables. Cette activité du transfert d’écriture, d’une personne à une autre, l’a amené à réfléchir sur la spontanéité des sentiments, des idées et des comportements d’autrui. À partir de ses constats, de son amour pour les mots et la compréhension du sens, il a entrepris des études pour devenir psycholinguiste, puis sémanticien sémiologue. Il exerce encore aujourd’hui ce métier auprès de dirigeants sur les stratégies de marque. François-Xavier enseigne en parallèle cette discipline auprès d’étudiants dans une école de design et de communication, à Paris.
Depuis fin 2022, il s’est décidé à rejoindre un gang d’amis et à épouser le métier d’éditeur. Sa ligne éditoriale est claire : défendre des textes engagés et permettre à chacun la prise d’une parole libre : déranger, certes, mais jamais pour blesser.
De culture québécoise et française, François-Xavier Bellest a exercé plusieurs métiers avant de se consacrer au métier d’éditeur.
Il a écrit une vingtaine de romans en qualité d’écrivain-fantôme pour le compte de maisons d’éditions canadiennes et françaises. Écrire à la place de l’autre l’a projeté dans une polysémie de couleurs innombrables. Cette activité du transfert d’écriture, d’une personne à une autre, l’a amené à réfléchir sur la spontanéité des sentiments, des idées et des comportements d’autrui. À partir de ses constats, de son amour pour les mots et la compréhension du sens, il a entrepris des études pour devenir psycholinguiste, puis sémanticien sémiologue. Il exerce encore aujourd’hui ce métier auprès de dirigeants sur les stratégies de marque. François-Xavier enseigne en parallèle cette discipline auprès d’étudiants dans une école de design et de communication, à Paris.
Depuis fin 2022, il s’est décidé à rejoindre un gang d’amis et à épouser le métier d’éditeur. Sa ligne éditoriale est claire : défendre des textes engagés et permettre à chacun la prise d’une parole libre : déranger, certes, mais jamais pour blesser.