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« L’inconcevable merci » de Bénédicte Sanson, est un récit choral bouleversant où se mêlent poésie, douleur et lumière. À travers Louis, sa mère, son père et ceux qui l’entourent, le roman explore l’amour inconditionnel, la perte et la résilience. Une ode vibrante à la vie, à la famille, et à ceux qui restent.
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Ce roman raconte l’histoire d’un ado, d’un dimanche d’hiver, d’une écharpe.
Elle commence par une blague et se poursuit sur 8 saisons
Ce roman choral bouleversant, traversé de poésie et de lumière, raconte l’amour
inconditionnel.
Une partition polyphonique tissée de fulgurances, de rires brisés, d’amour tenace.
Une mère qui vacille, un père qui se referme, deux sœurs qui grandissent trop vite.
Des amis en quête de sens. Une grand-mère aux silences anciens.
Et lui. Louis.
Face à l’impensable, une mère ose dire l’inconcevable :merci.
Non par résignation, mais par transformation.
Porté par une écriture vibrante et sensible, ce texte interroge la famille – celle dont on
hérite, celle qu’on construit, celle qu’on transcende – et questionne le sens même de
l’existence.
Un roman lumineux sur l’absence.
Une ode à la vie.
À ceux qui restent.
La préface est signée par Christophe Fauré, psychiatre reconnu pour son travail autour du deuil, de la fin de vie et des grandes transitions de l’existence.
Après avoir exercé en soins palliatifs à l’hôpital Paul-Brousse (Villejuif) et à la maison médicale Jeanne-Garnier (Paris), il a consacré de nombreux ouvrages à ces sujets essentiels, parmi lesquels Vivre le deuil au jour le jour, Après le suicide d’un proche ou encore Cette vie… et au-delà.
Son regard sensible et profondément humain entre en résonance avec la lumière singulière de ce texte.
Bénédicte Sanson nous propose une œuvre lumineuse, qui dépasse le témoignage pour toucher à l’universel.
Il parle à tous ceux qui cherchent du sens, de la douceur et une parole vraie face aux épreuves de la vie. Sa plume singulière, fine et profonde, fait de ce texte une pépite littéraire, à la croisée du récit, de la philosophie du vivant et de la spiritualité. Un ouvrage à part, qui trouvera naturellement sa place en littérature, philosophie, développement personnel et sciences humaines.
Ce livre est un paradoxe éclatant. Il aborde un sujet que beaucoup fuient — la perte, le chagrin, l’absence — et pourtant, il le fait avec une grâce bouleversante.
Là où l’on s’attend à la douleur, on découvre une lumière. Là où le silence semble s’imposer, surgit une parole fine, pudique et d’une sincérité rare.
Bénédicte Sanson parvient à dire l’indicible sans pathos, avec une plume d’une délicatesse et d’une beauté qui transforment l’épreuve en poésie.
Ce texte ne parle pas uniquement de mort : il parle de vie, de lien, de mémoire, de présence. C’est un livre qui apaise, qui élève, qui réconcilie.
Un livre à part, aussi doux qu’essentiel, dont la singularité réside dans cette capacité à faire du sensible une force, et de la fragilité une lumière.